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Prophylaxie

Techniques de brossage de dents
Personne se brossant les dents
Personne se brossant les dents
Personne se brossant les dents

Dès l'enfance

Le brossage peut être enseigné aux enfants par mimétisme avec leurs parents, et ce dès que les premières dents apparaissent. Un accompagnement, puis un contrôle, seront nécessaires jusqu’à ce que l’enfant soit autonome, et même au delà... Brosser les dents de votre enfant et lui apprendre à se brosser correctement les dents tout seul sont des étapes essentielles pour sa santé bucco-dentaire.


Les principes de base

Le brossage des dents du haut et du bas se fait séparément.
Chaque dent est brossée individuellement.
Le mouvement se fait de la gencive vers la dent, du rose vers le blanc.

Le bon rythme : 2 à 3 fois par jour, pendant 2 minutes.


Les gestes à connaître

Nettoyer successivement la face des dents côté joue, côté langue et la face du dessus.
Commencer par brosser la face supérieure des dents avec un mouvement d’avant en arrière.
Pour le brossage des faces externes et internes des dents, la brosse doit être inclinée à 45° sur la jonction entre la gencive et la dent. Un mouvement de « rouleau » sera réalisé 2 à 3 fois par dent pour évacuer la plaque dentaire.
Pour plus de facilité au niveau de la face interne des dents de devant, la brosse sera placée verticalement et le mouvement réalisé en allant de la gencive vers la dent.


Pour parfaire l’hygiène buccale, brosser doucement la langue et les gencives afin de bien les nettoyer.


Le brossage seul n’élimine que 50% de la plaque dentaire.

Il est donc nécessaire de compléter son action par des brossettes ou du fil dentaire qui doivent être passés entre les dents après le brossage du soir. En effet, les espaces situés entre les dents, appelés également zones interdentaires, sont inaccessibles aux poils de la brosse à dents. Par conséquent, c’est là que commencent à se développer la plupart des caries et des problèmes de gencives. Les brossettes interdentaires ou fil dentaire permettent d’éliminer 24% de plaque dentaire supplémentaire.


En cas de problèmes de gencives, de parodontite, de port d’appareil orthodontique ou de prothèse, ce brossage vous sera aussi recommandé.


La brossette interdentaire

C'est une sorte de petit goupillon, elle permet un nettoyage aisé des espaces larges, notamment chez les patients qui présentent un déchaussement des dents. De légers saignements peuvent être observés lors des premières utilisations de brossettes, mais ils doivent ensuite disparaître. Rincez la brossette sous l’eau après utilisation et jetez-la dès usure (15 à 20 jours après la première utilisation).

Choisissez la brossette en fonction de la taille de votre espace interdentaire. Votre chirurgien-dentiste vous conseillera. N’essayez pas de passer une brossette si l’espace interdentaire est trop étroit. Prenez alors une brossette plus petite ou utilisez du fil dentaire.


Le fil dentaire

Il est recommandé chez les personnes qui présentent un espace très fin entre leurs dents. Il est à utiliser avec précaution pour ne pas blesser la gencive.


N’hésitez pas à demander une démonstration au cabinet afin d’utiliser au mieux ces instruments

Dès l'enfance

Le brossage peut être enseigné aux enfants par mimétisme avec leurs parents, et ce dès que les premières dents apparaissent. Un accompagnement, puis un contrôle, seront nécessaires jusqu’à ce que l’enfant soit autonome, et même au delà... Brosser les dents de votre enfant et lui apprendre à se brosser correctement les dents tout seul sont des étapes essentielles pour sa santé bucco-dentaire.


Les principes de base

Le brossage des dents du haut et du bas se fait séparément.
Chaque dent est brossée individuellement.
Le mouvement se fait de la gencive vers la dent, du rose vers le blanc.

Le bon rythme : 2 à 3 fois par jour, pendant 2 minutes.


Les gestes à connaître

Nettoyer successivement la face des dents côté joue, côté langue et la face du dessus.
Commencer par brosser la face supérieure des dents avec un mouvement d’avant en arrière.
Pour le brossage des faces externes et internes des dents, la brosse doit être inclinée à 45° sur la jonction entre la gencive et la dent. Un mouvement de « rouleau » sera réalisé 2 à 3 fois par dent pour évacuer la plaque dentaire.
Pour plus de facilité au niveau de la face interne des dents de devant, la brosse sera placée verticalement et le mouvement réalisé en allant de la gencive vers la dent.


Pour parfaire l’hygiène buccale, brosser doucement la langue et les gencives afin de bien les nettoyer.


Le brossage seul n’élimine que 50% de la plaque dentaire.

Il est donc nécessaire de compléter son action par des brossettes ou du fil dentaire qui doivent être passés entre les dents après le brossage du soir. En effet, les espaces situés entre les dents, appelés également zones interdentaires, sont inaccessibles aux poils de la brosse à dents. Par conséquent, c’est là que commencent à se développer la plupart des caries et des problèmes de gencives. Les brossettes interdentaires ou fil dentaire permettent d’éliminer 24% de plaque dentaire supplémentaire.


En cas de problèmes de gencives, de parodontite, de port d’appareil orthodontique ou de prothèse, ce brossage vous sera aussi recommandé.


La brossette interdentaire

C'est une sorte de petit goupillon, elle permet un nettoyage aisé des espaces larges, notamment chez les patients qui présentent un déchaussement des dents. De légers saignements peuvent être observés lors des premières utilisations de brossettes, mais ils doivent ensuite disparaître. Rincez la brossette sous l’eau après utilisation et jetez-la dès usure (15 à 20 jours après la première utilisation).

Choisissez la brossette en fonction de la taille de votre espace interdentaire. Votre chirurgien-dentiste vous conseillera. N’essayez pas de passer une brossette si l’espace interdentaire est trop étroit. Prenez alors une brossette plus petite ou utilisez du fil dentaire.


Le fil dentaire

Il est recommandé chez les personnes qui présentent un espace très fin entre leurs dents. Il est à utiliser avec précaution pour ne pas blesser la gencive.


N’hésitez pas à demander une démonstration au cabinet afin d’utiliser au mieux ces instruments

Dès l'enfance

Le brossage peut être enseigné aux enfants par mimétisme avec leurs parents, et ce dès que les premières dents apparaissent. Un accompagnement, puis un contrôle, seront nécessaires jusqu’à ce que l’enfant soit autonome, et même au delà... Brosser les dents de votre enfant et lui apprendre à se brosser correctement les dents tout seul sont des étapes essentielles pour sa santé bucco-dentaire.


Les principes de base

Le brossage des dents du haut et du bas se fait séparément.
Chaque dent est brossée individuellement.
Le mouvement se fait de la gencive vers la dent, du rose vers le blanc.

Le bon rythme : 2 à 3 fois par jour, pendant 2 minutes.


Les gestes à connaître

Nettoyer successivement la face des dents côté joue, côté langue et la face du dessus.
Commencer par brosser la face supérieure des dents avec un mouvement d’avant en arrière.
Pour le brossage des faces externes et internes des dents, la brosse doit être inclinée à 45° sur la jonction entre la gencive et la dent. Un mouvement de « rouleau » sera réalisé 2 à 3 fois par dent pour évacuer la plaque dentaire.
Pour plus de facilité au niveau de la face interne des dents de devant, la brosse sera placée verticalement et le mouvement réalisé en allant de la gencive vers la dent.


Pour parfaire l’hygiène buccale, brosser doucement la langue et les gencives afin de bien les nettoyer.


Le brossage seul n’élimine que 50% de la plaque dentaire.

Il est donc nécessaire de compléter son action par des brossettes ou du fil dentaire qui doivent être passés entre les dents après le brossage du soir. En effet, les espaces situés entre les dents, appelés également zones interdentaires, sont inaccessibles aux poils de la brosse à dents. Par conséquent, c’est là que commencent à se développer la plupart des caries et des problèmes de gencives. Les brossettes interdentaires ou fil dentaire permettent d’éliminer 24% de plaque dentaire supplémentaire.


En cas de problèmes de gencives, de parodontite, de port d’appareil orthodontique ou de prothèse, ce brossage vous sera aussi recommandé.


La brossette interdentaire

C'est une sorte de petit goupillon, elle permet un nettoyage aisé des espaces larges, notamment chez les patients qui présentent un déchaussement des dents. De légers saignements peuvent être observés lors des premières utilisations de brossettes, mais ils doivent ensuite disparaître. Rincez la brossette sous l’eau après utilisation et jetez-la dès usure (15 à 20 jours après la première utilisation).

Choisissez la brossette en fonction de la taille de votre espace interdentaire. Votre chirurgien-dentiste vous conseillera. N’essayez pas de passer une brossette si l’espace interdentaire est trop étroit. Prenez alors une brossette plus petite ou utilisez du fil dentaire.


Le fil dentaire

Il est recommandé chez les personnes qui présentent un espace très fin entre leurs dents. Il est à utiliser avec précaution pour ne pas blesser la gencive.


N’hésitez pas à demander une démonstration au cabinet afin d’utiliser au mieux ces instruments

Prothèse

Prothèse dentaire
Prothèse dentaire
Prothèse dentaire

Inlay onlay

Les inlay onlay céramiques dentaires sont collés dans la dent de façon à remplacer la partie détruite par la carie ou par la perte de l’émail. C’est une prothèse cosmétique idéale pour l’esthétique dentaire.


On peut maintenant fabriquer des inlays et des onlays très esthétiques, en résine composite ou en céramique, qui reproduisent de façon exacte la teinte et la forme de vos dents.

Les Inlays ou Onlays de par leur très grande qualité, permettent une grande restauration de la dent à long terme sans avoir à la dévitaliser, et donc à devoir la couronner ensuite. Cette technique est très économe en tissus dentaires tout en offrant la qualité d’une prothèse esthétique.


Cette pièce est appelée OVERLAY lorsqu'elle reconstitue l'ensemble de la surface de mastication de la dent.


Inlay onlay

Les inlay onlay céramiques dentaires sont collés dans la dent de façon à remplacer la partie détruite par la carie ou par la perte de l’émail. C’est une prothèse cosmétique idéale pour l’esthétique dentaire.


On peut maintenant fabriquer des inlays et des onlays très esthétiques, en résine composite ou en céramique, qui reproduisent de façon exacte la teinte et la forme de vos dents.

Les Inlays ou Onlays de par leur très grande qualité, permettent une grande restauration de la dent à long terme sans avoir à la dévitaliser, et donc à devoir la couronner ensuite. Cette technique est très économe en tissus dentaires tout en offrant la qualité d’une prothèse esthétique.


Cette pièce est appelée OVERLAY lorsqu'elle reconstitue l'ensemble de la surface de mastication de la dent.


illustration de couronne dentaire
illustration de couronne dentaire
illustration de couronne dentaire

Couronnes dentaires
Une couronne permet de reconstruire une dent très délabrée, dévitalisée ou non. Son choix s’effectuera en fonction de la qualité et du résultat esthétique attendu.


Les couronnes dentaires viennent au secours des patients affichant des dents très abîmées nécessitant une reconstruction.

Il s’agit de « chapeaux » qui vont sertir le moignon de dent restant pour le consolider, rétablir la forme, l’esthétique et la fonction des dents.

Le choix d'une couronne dentaire sera réalisé en fonction de la qualité requise, du rendu esthétique attendu et du budget envisagé.

Une dent couronnée doit être contrôlée régulièrement afin d’intercepter un éventuel début de carie au niveau du joint entre la couronne et la dent. Pour préserver votre couronne, évitez de mâcher des aliments trop durs, ou de mastiquer un objet tel qu’un crayon ou un stylo. Ce conseil doit d’autant plus s’appliquer pour les couronnes en céramique.


Après la pose d’une couronne, l’hygiène dentaire doit être encore plus minutieuse qu’avant, avec notamment le passage quotidien d’un fil dentaire et/ou d’une brossette interdentaire en complément du brossage.

Couronnes dentaires
Une couronne permet de reconstruire une dent très délabrée, dévitalisée ou non. Son choix s’effectuera en fonction de la qualité et du résultat esthétique attendu.


Les couronnes dentaires viennent au secours des patients affichant des dents très abîmées nécessitant une reconstruction.

Il s’agit de « chapeaux » qui vont sertir le moignon de dent restant pour le consolider, rétablir la forme, l’esthétique et la fonction des dents.

Le choix d'une couronne dentaire sera réalisé en fonction de la qualité requise, du rendu esthétique attendu et du budget envisagé.

Une dent couronnée doit être contrôlée régulièrement afin d’intercepter un éventuel début de carie au niveau du joint entre la couronne et la dent. Pour préserver votre couronne, évitez de mâcher des aliments trop durs, ou de mastiquer un objet tel qu’un crayon ou un stylo. Ce conseil doit d’autant plus s’appliquer pour les couronnes en céramique.


Après la pose d’une couronne, l’hygiène dentaire doit être encore plus minutieuse qu’avant, avec notamment le passage quotidien d’un fil dentaire et/ou d’une brossette interdentaire en complément du brossage.

Bridge dentaire sur trois dents
Bridge dentaire sur trois dents
Bridge dentaire sur trois dents
Bridge dentaire
Bridge dentaire

Bridge
Un bridge est une prothèse fixe permettant de remplacer une ou plusieurs dents absentes en s’appuyant sur les dents adjacentes.

« Pont » en anglais, le bridge utilise les dents voisines comme des piliers sur lesquels il est scellé ou collé. Il existe plusieurs sortes de bridge, indiqués en fonction de l’édentation : les plus fréquents sont les bridges collés et les bridges conventionnels. Les bridges peuvent être en métal, en céramo-métallique ou entièrement en céramique, selon les cas. Ils sont réalisés par le prothésiste dentaire et posés par votre chirurgien-dentiste



Bridges collés

Les bridges collés permettent le remplacement d’une seule dent (voire de deux, dans certains cas) en s’appuyant sur les dents adjacentes au moyen d’ailettes métalliques collées. Ils sont généralement utilisés pour remplacer une dent antérieure. Lorsque la pose de ce bridge est possible, c’est une solution très esthétique et peu délabrante pour les dents voisines sur lesquelles on prend ancrage.



Bridges conventionnels
Pour ce type de bridge, l’ancrage sur les dents bordant l’édentement se fait le plus souvent au moyen de couronnes dentaires et parfois d’inlays ou onlays. Comme pour les couronnes dentaires, les éléments du bridge peuvent être métalliques, céramo-métalliques ou entièrement en céramique (dans certains cas seulement). Les dents qui bordent la dent manquante sont préparées pour recevoir le bridge.

Bridge
Un bridge est une prothèse fixe permettant de remplacer une ou plusieurs dents absentes en s’appuyant sur les dents adjacentes.

« Pont » en anglais, le bridge utilise les dents voisines comme des piliers sur lesquels il est scellé ou collé. Il existe plusieurs sortes de bridge, indiqués en fonction de l’édentation : les plus fréquents sont les bridges collés et les bridges conventionnels. Les bridges peuvent être en métal, en céramo-métallique ou entièrement en céramique, selon les cas. Ils sont réalisés par le prothésiste dentaire et posés par votre chirurgien-dentiste



Bridges collés

Les bridges collés permettent le remplacement d’une seule dent (voire de deux, dans certains cas) en s’appuyant sur les dents adjacentes au moyen d’ailettes métalliques collées. Ils sont généralement utilisés pour remplacer une dent antérieure. Lorsque la pose de ce bridge est possible, c’est une solution très esthétique et peu délabrante pour les dents voisines sur lesquelles on prend ancrage.



Bridges conventionnels
Pour ce type de bridge, l’ancrage sur les dents bordant l’édentement se fait le plus souvent au moyen de couronnes dentaires et parfois d’inlays ou onlays. Comme pour les couronnes dentaires, les éléments du bridge peuvent être métalliques, céramo-métalliques ou entièrement en céramique (dans certains cas seulement). Les dents qui bordent la dent manquante sont préparées pour recevoir le bridge.

Implant dentaire
Implant dentaire
Implant dentaire
vue en coupe d'un implant dentaire
vue en coupe d'un implant dentaire
vue en coupe d'un implant dentaire

Implant
Le bridge et l’implant sont deux techniques fréquemment utilisées pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes. Néanmoins, avec l’avènement des prothèses dentaires sur implants, le nombre de bridges effectués tend à diminuer. En effet, lorsqu’un bridge est réalisé, les dents qui le supportent doivent être préparées et ensuite supporter la charge des dents remplacées.


Avec les implants, on ne touche pas aux dents voisines et les forces de mastication sont prises en charge par les implants. Ils préservent ainsi l’avenir des dents voisines et de l’os alvéolaire qui les soutient. Les bridges doivent être contrôlés très régulièrement pour dépister un éventuel début de carie au niveau des ancrages, mais également pour détecter une possible souffrance des dents supports due à l’augmentation des forces à leur niveau. Une bonne hygiène bucco-dentaire est fortement recommandée. Il est important d’effectuer un brossage deux fois par jour pendant deux minutes sur vos dents naturelles, ainsi que sur votre bridge. Utilisez les brossettes interdentaires et/ou le fil dentaire pour parfaire votre brossage.


L’implantologie dentaire permet de remplacer des dents, mais ce n’est pas seulement un acte esthétique. Cela permet aussi aux patients souffrant de la perte d'une ou plusieurs dents de retrouver un bien-être certain.

Un implant dentaire est comme une petite vis, c’est une racine artificielle, il est en titane et biocompatible. Il sert à remplacer la racine d’une dent abîmée ou manquante et permet de servir de point d’ancrage à une future prothèse dentaire ou couronne céramique. Que ce soit pour une ou plusieurs dents manquantes nous vous proposerons la solution la mieux adaptée à votre cas, pour un résultat optimal à la fois esthétique et fiable dans le temps.
Les implants dentaires sont une solution à long terme qui permet de remplacer en toute sécurité une ou plusieurs dents sans affecter les autres dents, ce qui en fait la meilleure solution pour remplacer les dents manquantes. Les implants dentaires offrent de meilleurs résultats cosmétiques et fonctionnels.

Les implants dentaires empêchent une fonte osseuse importante et l’affaissement du visage à l’origine de son vieillissement prématuré. La pose d’implant dentaire évite le délabrement des dents naturelles voisines de l’édentation, contrairement aux techniques traditionnelles. Ils offrent une base stable pour les nouvelles dents, et permettent de parler et de manger avec confort en toute sécurité.

Les implants dentaires constituent une solution extrêmement prévisible, avec des études sur le moyen et le long terme montrant des taux très élevés de réussite.



Inlay-cores
Un inlay-core est un dispositif prothétique qui servira de support à la reconstruction de la partie visible de la dent. Dans le cas de dents très abîmées (carie importante, fracture) il est parfois impossible de poser une couronne sur le fragment de dent qui subsiste.


Pour consolider la dent, un inlay-core, également appelé « faux moignon », est alors réalisé. Il s’agit d’une pièce métallique ancrée dans la ou les racines de la dent, et dont la partie supérieure servira de support à la future couronne. La décision de faire appel à un inlay-core ne sera prise qu’après un examen clinique (position de la dent, état parodontal...) et un examen radiologique.


L’inlay-core est indiqué chaque fois que toute autre restauration classique s’avère insuffisante, soit en matière de résistance mécanique, soit en matière de surface d’appui.

Renforcement ou reconstitution d’une dent à couronner.

Traitement d’une dent servant de pilier à un bridge (nécessité d’un ancrage fort).

Mauvaise occlusion (contact entre les deux mâchoires) et pression mal répartie.

Malpositions dentaires.


La pose d’un inlay-core nécessite la dévitalisation préalable de la dent. Un traitement approprié élimine la pulpe dentaire restante et prépare les canaux à recevoir le pivot de l’inlay-core. Une fois l’inlay-core posé, une empreinte de l’ensemble est prise, permettant ainsi la confection sur mesure de la couronne par le prothésiste. Cette couronne est ensuite scellée comme s’il s’agissait d’une reconstitution simple.


En plus d’une forte résistance à la pression masticatoire, l’inlay-core permet d’obtenir une bonne étanchéité au niveau de l’obturation des canaux. Par ailleurs, il assure une solide jonction entre la racine et la couronne.

Implant
Le bridge et l’implant sont deux techniques fréquemment utilisées pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes. Néanmoins, avec l’avènement des prothèses dentaires sur implants, le nombre de bridges effectués tend à diminuer. En effet, lorsqu’un bridge est réalisé, les dents qui le supportent doivent être préparées et ensuite supporter la charge des dents remplacées.


Avec les implants, on ne touche pas aux dents voisines et les forces de mastication sont prises en charge par les implants. Ils préservent ainsi l’avenir des dents voisines et de l’os alvéolaire qui les soutient. Les bridges doivent être contrôlés très régulièrement pour dépister un éventuel début de carie au niveau des ancrages, mais également pour détecter une possible souffrance des dents supports due à l’augmentation des forces à leur niveau. Une bonne hygiène bucco-dentaire est fortement recommandée. Il est important d’effectuer un brossage deux fois par jour pendant deux minutes sur vos dents naturelles, ainsi que sur votre bridge. Utilisez les brossettes interdentaires et/ou le fil dentaire pour parfaire votre brossage.


L’implantologie dentaire permet de remplacer des dents, mais ce n’est pas seulement un acte esthétique. Cela permet aussi aux patients souffrant de la perte d'une ou plusieurs dents de retrouver un bien-être certain.

Un implant dentaire est comme une petite vis, c’est une racine artificielle, il est en titane et biocompatible. Il sert à remplacer la racine d’une dent abîmée ou manquante et permet de servir de point d’ancrage à une future prothèse dentaire ou couronne céramique. Que ce soit pour une ou plusieurs dents manquantes nous vous proposerons la solution la mieux adaptée à votre cas, pour un résultat optimal à la fois esthétique et fiable dans le temps.
Les implants dentaires sont une solution à long terme qui permet de remplacer en toute sécurité une ou plusieurs dents sans affecter les autres dents, ce qui en fait la meilleure solution pour remplacer les dents manquantes. Les implants dentaires offrent de meilleurs résultats cosmétiques et fonctionnels.

Les implants dentaires empêchent une fonte osseuse importante et l’affaissement du visage à l’origine de son vieillissement prématuré. La pose d’implant dentaire évite le délabrement des dents naturelles voisines de l’édentation, contrairement aux techniques traditionnelles. Ils offrent une base stable pour les nouvelles dents, et permettent de parler et de manger avec confort en toute sécurité.

Les implants dentaires constituent une solution extrêmement prévisible, avec des études sur le moyen et le long terme montrant des taux très élevés de réussite.



Inlay-cores
Un inlay-core est un dispositif prothétique qui servira de support à la reconstruction de la partie visible de la dent. Dans le cas de dents très abîmées (carie importante, fracture) il est parfois impossible de poser une couronne sur le fragment de dent qui subsiste.


Pour consolider la dent, un inlay-core, également appelé « faux moignon », est alors réalisé. Il s’agit d’une pièce métallique ancrée dans la ou les racines de la dent, et dont la partie supérieure servira de support à la future couronne. La décision de faire appel à un inlay-core ne sera prise qu’après un examen clinique (position de la dent, état parodontal...) et un examen radiologique.


L’inlay-core est indiqué chaque fois que toute autre restauration classique s’avère insuffisante, soit en matière de résistance mécanique, soit en matière de surface d’appui.

Renforcement ou reconstitution d’une dent à couronner.

Traitement d’une dent servant de pilier à un bridge (nécessité d’un ancrage fort).

Mauvaise occlusion (contact entre les deux mâchoires) et pression mal répartie.

Malpositions dentaires.


La pose d’un inlay-core nécessite la dévitalisation préalable de la dent. Un traitement approprié élimine la pulpe dentaire restante et prépare les canaux à recevoir le pivot de l’inlay-core. Une fois l’inlay-core posé, une empreinte de l’ensemble est prise, permettant ainsi la confection sur mesure de la couronne par le prothésiste. Cette couronne est ensuite scellée comme s’il s’agissait d’une reconstitution simple.


En plus d’une forte résistance à la pression masticatoire, l’inlay-core permet d’obtenir une bonne étanchéité au niveau de l’obturation des canaux. Par ailleurs, il assure une solide jonction entre la racine et la couronne.

Implant
Le bridge et l’implant sont deux techniques fréquemment utilisées pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes. Néanmoins, avec l’avènement des prothèses dentaires sur implants, le nombre de bridges effectués tend à diminuer. En effet, lorsqu’un bridge est réalisé, les dents qui le supportent doivent être préparées et ensuite supporter la charge des dents remplacées.


Avec les implants, on ne touche pas aux dents voisines et les forces de mastication sont prises en charge par les implants. Ils préservent ainsi l’avenir des dents voisines et de l’os alvéolaire qui les soutient. Les bridges doivent être contrôlés très régulièrement pour dépister un éventuel début de carie au niveau des ancrages, mais également pour détecter une possible souffrance des dents supports due à l’augmentation des forces à leur niveau. Une bonne hygiène bucco-dentaire est fortement recommandée. Il est important d’effectuer un brossage deux fois par jour pendant deux minutes sur vos dents naturelles, ainsi que sur votre bridge. Utilisez les brossettes interdentaires et/ou le fil dentaire pour parfaire votre brossage.


L’implantologie dentaire permet de remplacer des dents, mais ce n’est pas seulement un acte esthétique. Cela permet aussi aux patients souffrant de la perte d'une ou plusieurs dents de retrouver un bien-être certain.

Un implant dentaire est comme une petite vis, c’est une racine artificielle, il est en titane et biocompatible. Il sert à remplacer la racine d’une dent abîmée ou manquante et permet de servir de point d’ancrage à une future prothèse dentaire ou couronne céramique. Que ce soit pour une ou plusieurs dents manquantes nous vous proposerons la solution la mieux adaptée à votre cas, pour un résultat optimal à la fois esthétique et fiable dans le temps.
Les implants dentaires sont une solution à long terme qui permet de remplacer en toute sécurité une ou plusieurs dents sans affecter les autres dents, ce qui en fait la meilleure solution pour remplacer les dents manquantes. Les implants dentaires offrent de meilleurs résultats cosmétiques et fonctionnels.

Les implants dentaires empêchent une fonte osseuse importante et l’affaissement du visage à l’origine de son vieillissement prématuré. La pose d’implant dentaire évite le délabrement des dents naturelles voisines de l’édentation, contrairement aux techniques traditionnelles. Ils offrent une base stable pour les nouvelles dents, et permettent de parler et de manger avec confort en toute sécurité.

Les implants dentaires constituent une solution extrêmement prévisible, avec des études sur le moyen et le long terme montrant des taux très élevés de réussite.



Inlay-cores
Un inlay-core est un dispositif prothétique qui servira de support à la reconstruction de la partie visible de la dent. Dans le cas de dents très abîmées (carie importante, fracture) il est parfois impossible de poser une couronne sur le fragment de dent qui subsiste.


Pour consolider la dent, un inlay-core, également appelé « faux moignon », est alors réalisé. Il s’agit d’une pièce métallique ancrée dans la ou les racines de la dent, et dont la partie supérieure servira de support à la future couronne. La décision de faire appel à un inlay-core ne sera prise qu’après un examen clinique (position de la dent, état parodontal...) et un examen radiologique.


L’inlay-core est indiqué chaque fois que toute autre restauration classique s’avère insuffisante, soit en matière de résistance mécanique, soit en matière de surface d’appui.

Renforcement ou reconstitution d’une dent à couronner.

Traitement d’une dent servant de pilier à un bridge (nécessité d’un ancrage fort).

Mauvaise occlusion (contact entre les deux mâchoires) et pression mal répartie.

Malpositions dentaires.


La pose d’un inlay-core nécessite la dévitalisation préalable de la dent. Un traitement approprié élimine la pulpe dentaire restante et prépare les canaux à recevoir le pivot de l’inlay-core. Une fois l’inlay-core posé, une empreinte de l’ensemble est prise, permettant ainsi la confection sur mesure de la couronne par le prothésiste. Cette couronne est ensuite scellée comme s’il s’agissait d’une reconstitution simple.


En plus d’une forte résistance à la pression masticatoire, l’inlay-core permet d’obtenir une bonne étanchéité au niveau de l’obturation des canaux. Par ailleurs, il assure une solide jonction entre la racine et la couronne.

Prothèse amovible complète
Prothèse amovible complète
Prothèse amovible complète

Prothèse amovible complète
Les prothèses amovibles complètes permettent de remplacer l’ensemble des dents sur une ou les deux mâchoires. Elles peuvent être insérées et enlevées à volonté.


Il existe deux types de prothèses
La prothèse amovible complète traditionnelle appuyée sur les gencives et os de la mâchoire.

La prothèse amovible complète stabilisée par sa fixation sur des implants prévus à cet effet.


La réalisation de prothèses amovibles complètes nécessite une succession d’étapes d’une grande précision. Deux empreintes ou plus sont nécessaires pour enregistrer de façon très précise la position de la gencive, de la langue, des lèvres et des joues.

La prothèse, en résine acrylique, sera ensuite réalisée par un prothésiste. L’adhésion de la prothèse s’effectue sur les tissus de la bouche par un effet naturel de « ventouse », complété éventuellement avec une colle ou une résine spécifique. En cas de perte de stabilité, un « rebasage » permettra de combler les espaces libres entre la prothèse et la gencive.


Les premiers jours

L’appareil peut paraître volumineux, irritant ou instable. Nous vous recommandons donc, dès le début, de le porter aussi souvent que possible afin que l’adaptation puisse se faire dans de brefs délais.

Vous ressentez une gêne pour vous alimenter ou maintenir une bonne élocution ?

Mâchez lentement et par petites quantités. Évitez les aliments qui contiennent des pépins et des graines. Parlez à voix haute pour prendre confiance dans votre élocution.

N’hésitez pas à nous signaler des désagréments afin que nous mettions en place les meilleures solutions de confort.

Au bout de quelque temps, l’appareil se fera oublier


Les réglages

Pendant les semaines qui suivent la pose, des réglages successifs devront être réalisés au cabinet afin d’assurer une bonne adaptation de l’appareil à votre mâchoire et à votre bouche.

En cas de douleur légère, appliquez un gel antalgique et antiseptique (hyalugel ou pansoral). Si vous ressentez une douleur plus forte, prenez rendez-vous et portez l’appareil quelques heures avant la consultation afin de bien identifier l’endroit à retoucher.


L'entretien

L’appareil doit être nettoyé au moins deux fois par jour après les repas, à l’aide d’une brosse dure (réservée à cet usage) avec du savon ou un produit spécifique pour qu’il ne reste aucun dépôt. Les dents restantes doivent également être brossées, ainsi que la gencive sur laquelle la prothèse s’appuie.

Si la prothèse n’est pas portée la nuit, il est plus hygiénique de la laisser au sec que de la faire tremper dans un verre d’eau. Si votre prothèse est restée au sec pendant la nuit, vous pouvez l’humidifier à l’eau tiède avant de la remettre en bouche.

Il existe également des produits nettoyants, efficaces durant la nuit, qui assurent la pérennité de l’appareil.


Les prothèses dentaires sont soumises à une usure importante. En outre, au fur et à mesure des années, la morphologie de votre mâchoire va changer, la gencive et l’os vont se modifier. C’est pourquoi, il est recommandé de faire régulièrement vérifier vos prothèses. Pour un confort optimal, il est de temps en temps nécessaire de « rebaser » la prothèse, c’est-à-dire de la réadapter en la « rechargeant » en résine. Parfois, il sera préférable de la faire refaire.


Les prothèses amovibles partielles
Les prothèses amovibles partielles permettent de combler l’absence d’une ou plusieurs dents. Elles peuvent être réalisées à partir de matériaux différents :
La prothèse dentaire amovible partielle en résine : des dents artificielles sont intégrées à une plaque en résine rose pour un résultat naturel. Stabilisée par des crochets, cette solution est considérée comme provisoire ;
La prothèse dentaire amovible partielle à châssis métallique : les dents artificielles sont fixées à un châssis métallique. 
Le port d’une prothèse dentaire amovible partielle nécessite un temps d’adaptation.


Prothèses dentaires immédiates 
Cette prothèse est insérée le jour même, tout de suite après l'extraction des dents à remplacer, ce qui évite toute sortie en public avec des dents manquantes. La prothèse immédiate est donc fabriquée à partir de l'empreinte des dents originales, avant qu'elles ne soient extraites. Les prothèses dentaires immédiates ont une durée de vie courte, quelques mois au maximum. Celles-ci ne doivent être utilisées que pendant que vous attendez vos prothèses définitives. Les prothèses immédiates sont de haute qualité, mais quand votre bouche guérie, l’atrophie des os et des tissus modifie l’ajustement, et c’est pour cela qu’elles ne sont pas idéales sur le long terme. 


Prothèse fixée sur implants

 La prothèse peut etre fixée avec un dispositif de 2, 4 ou 6 implants.

La tenue de la prothèse est assurée à la fois par les tissus de la bouche et par les implants.

Les systèmes d’attachement aux implants peuvent être soit un dispositif de boutons-pressions clipsés directement sur les implants dentaires soit une barre intermédiaire assurant la contention des piliers et la tenue de la prothèse.

Cette solution apporte au patient confort et fiabilité dans le dispositif, en particulier pour la mastication et l’élocution. Les premiers temps avec votre prothèse amovible : adoptez les bons réflexes pour faciliter la période d'adaptation.

Prothèse amovible complète
Les prothèses amovibles complètes permettent de remplacer l’ensemble des dents sur une ou les deux mâchoires. Elles peuvent être insérées et enlevées à volonté.


Il existe deux types de prothèses
La prothèse amovible complète traditionnelle appuyée sur les gencives et os de la mâchoire.

La prothèse amovible complète stabilisée par sa fixation sur des implants prévus à cet effet.


La réalisation de prothèses amovibles complètes nécessite une succession d’étapes d’une grande précision. Deux empreintes ou plus sont nécessaires pour enregistrer de façon très précise la position de la gencive, de la langue, des lèvres et des joues.

La prothèse, en résine acrylique, sera ensuite réalisée par un prothésiste. L’adhésion de la prothèse s’effectue sur les tissus de la bouche par un effet naturel de « ventouse », complété éventuellement avec une colle ou une résine spécifique. En cas de perte de stabilité, un « rebasage » permettra de combler les espaces libres entre la prothèse et la gencive.


Les premiers jours

L’appareil peut paraître volumineux, irritant ou instable. Nous vous recommandons donc, dès le début, de le porter aussi souvent que possible afin que l’adaptation puisse se faire dans de brefs délais.

Vous ressentez une gêne pour vous alimenter ou maintenir une bonne élocution ?

Mâchez lentement et par petites quantités. Évitez les aliments qui contiennent des pépins et des graines. Parlez à voix haute pour prendre confiance dans votre élocution.

N’hésitez pas à nous signaler des désagréments afin que nous mettions en place les meilleures solutions de confort.

Au bout de quelque temps, l’appareil se fera oublier


Les réglages

Pendant les semaines qui suivent la pose, des réglages successifs devront être réalisés au cabinet afin d’assurer une bonne adaptation de l’appareil à votre mâchoire et à votre bouche.

En cas de douleur légère, appliquez un gel antalgique et antiseptique (hyalugel ou pansoral). Si vous ressentez une douleur plus forte, prenez rendez-vous et portez l’appareil quelques heures avant la consultation afin de bien identifier l’endroit à retoucher.


L'entretien

L’appareil doit être nettoyé au moins deux fois par jour après les repas, à l’aide d’une brosse dure (réservée à cet usage) avec du savon ou un produit spécifique pour qu’il ne reste aucun dépôt. Les dents restantes doivent également être brossées, ainsi que la gencive sur laquelle la prothèse s’appuie.

Si la prothèse n’est pas portée la nuit, il est plus hygiénique de la laisser au sec que de la faire tremper dans un verre d’eau. Si votre prothèse est restée au sec pendant la nuit, vous pouvez l’humidifier à l’eau tiède avant de la remettre en bouche.

Il existe également des produits nettoyants, efficaces durant la nuit, qui assurent la pérennité de l’appareil.


Les prothèses dentaires sont soumises à une usure importante. En outre, au fur et à mesure des années, la morphologie de votre mâchoire va changer, la gencive et l’os vont se modifier. C’est pourquoi, il est recommandé de faire régulièrement vérifier vos prothèses. Pour un confort optimal, il est de temps en temps nécessaire de « rebaser » la prothèse, c’est-à-dire de la réadapter en la « rechargeant » en résine. Parfois, il sera préférable de la faire refaire.


Les prothèses amovibles partielles
Les prothèses amovibles partielles permettent de combler l’absence d’une ou plusieurs dents. Elles peuvent être réalisées à partir de matériaux différents :
La prothèse dentaire amovible partielle en résine : des dents artificielles sont intégrées à une plaque en résine rose pour un résultat naturel. Stabilisée par des crochets, cette solution est considérée comme provisoire ;
La prothèse dentaire amovible partielle à châssis métallique : les dents artificielles sont fixées à un châssis métallique. 
Le port d’une prothèse dentaire amovible partielle nécessite un temps d’adaptation.


Prothèses dentaires immédiates 
Cette prothèse est insérée le jour même, tout de suite après l'extraction des dents à remplacer, ce qui évite toute sortie en public avec des dents manquantes. La prothèse immédiate est donc fabriquée à partir de l'empreinte des dents originales, avant qu'elles ne soient extraites. Les prothèses dentaires immédiates ont une durée de vie courte, quelques mois au maximum. Celles-ci ne doivent être utilisées que pendant que vous attendez vos prothèses définitives. Les prothèses immédiates sont de haute qualité, mais quand votre bouche guérie, l’atrophie des os et des tissus modifie l’ajustement, et c’est pour cela qu’elles ne sont pas idéales sur le long terme. 


Prothèse fixée sur implants

 La prothèse peut etre fixée avec un dispositif de 2, 4 ou 6 implants.

La tenue de la prothèse est assurée à la fois par les tissus de la bouche et par les implants.

Les systèmes d’attachement aux implants peuvent être soit un dispositif de boutons-pressions clipsés directement sur les implants dentaires soit une barre intermédiaire assurant la contention des piliers et la tenue de la prothèse.

Cette solution apporte au patient confort et fiabilité dans le dispositif, en particulier pour la mastication et l’élocution. Les premiers temps avec votre prothèse amovible : adoptez les bons réflexes pour faciliter la période d'adaptation.

Soins de caries

Carie dentaire
Carie dentaire
Carie dentaire
Les caries dentaires affectent 60 à 90 % des enfants d’âge scolaire et la majorité des adultes. Mieux les comprendre permet de mieux les éviter !


Une carie, c'est quoi ?
La carie est une maladie infectieuse d’origine bactérienne qui détruit progressivement la dent par déminéralisation de ses tissus durs. Elle évolue toujours de l’extérieur vers l’intérieur de la dent en formant une cavité.
Elle touche aussi bien les dents de lait de l’enfant que les dents définitives de l’adulte
Elle se développe par l’interaction de différents facteurs : les bactéries de la plaque dentaire, le terrain dentaire (émail mince, mal minéralisé ou usé), l’alimentation et le temps.
La carie peut se manifester très tôt : les enfants peuvent avoir des caries dès l’apparition de leurs premières dents.


Évolution de la carie
La carie se caractérise par l’apparition d’une cavité à la surface de l’émail.
Au fur et à mesure qu’elle progresse, cette cavité va se frayer un chemin vers l’intérieur de la dent jusqu’à atteindre le nerf. Les premiers signes pouvant révéler la présence d’une carie sont les douleurs au sucre, au froid ou au chaud.
La carie évolue selon quatre stades : la destruction de l’émail, l’agression de la dentine, l’atteinte de la pulpe et enfin la formation d’un abcès.


Le traitement de l'infection
Pour soigner une carie, la dent est endormie (sauf si la carie est très superficielle) et la partie cariée retirée. Après cette première étape, la dent présente un espace creux qui doit être désinfecté afin de pouvoir la reconstituer à l’abri des microbes, évitant ainsi tout risque de récidive de la carie.
Lorsque la carie n’est pas traitée à son début, on risque une rage de dent et le développement d’un abcès dentaire ou d’un kyste.
Le fluor renforce l’émail des dents. Un bon dosage permet de limiter le développement des caries.

Pour éviter les caries, il est nécessaire de se brosser les dents minutieusement dès le plus jeune âge (même lorsqu’il n’y a que des dents de lait en bouche). Pour les jeunes enfants, ayant une susceptibilité accrue à la carie, votre chirurgien-dentiste pourra vous proposer un scellement des sillons des premières molaires à partir de 6ans.  Une dent déjà soignée n’est pas à l’abri d’une nouvelle carie et certaines caries se développent sans douleur. 


Les soins dentaires
Il est important de consulter un dentiste au moins une fois par an, pour un bilan bucco dentaire, à partir de 3 ans. Ainsi s’il y a des caries, des solutions simples pourront être apportées (soins et prévention ), un nettoyage sera réalisé afin d’enlever la plaque dentaire et le tartre. Des conseils seront donnés afin d’améliorer le brossage, et des soins supplémentaires peuvent être recommandés si besoin. En cas de douleur, nous recevons nos patients en urgence dans la journée. 
 
Pour les caries de petite taille, un composite sera utilisé pour reconstruire la dent, les amalgames (plombages) ne sont plus utilisés dans le cabinet. Pour les lésions pré-carieuses, ainsi que pour certaines tâches, il est possible de réaliser une infiltration de résine afin de soigner l’émail et lui rendre son aspect homogène. 
Il est parfois nécessaire de dévitaliser la dent si la carie est trop profonde et la dent douloureuse. Cette dent nécessitera peut être une reconstruction plus importante qu’un simple composite, un onlay sera peut être nécessaire. 

Nous privilégions toujours les solutions qui permettent de conserver au maximum les tissus dentaires, et surtout l’émail.
Les caries dentaires affectent 60 à 90 % des enfants d’âge scolaire et la majorité des adultes. Mieux les comprendre permet de mieux les éviter !


Une carie, c'est quoi ?
La carie est une maladie infectieuse d’origine bactérienne qui détruit progressivement la dent par déminéralisation de ses tissus durs. Elle évolue toujours de l’extérieur vers l’intérieur de la dent en formant une cavité.
Elle touche aussi bien les dents de lait de l’enfant que les dents définitives de l’adulte
Elle se développe par l’interaction de différents facteurs : les bactéries de la plaque dentaire, le terrain dentaire (émail mince, mal minéralisé ou usé), l’alimentation et le temps.
La carie peut se manifester très tôt : les enfants peuvent avoir des caries dès l’apparition de leurs premières dents.


Évolution de la carie
La carie se caractérise par l’apparition d’une cavité à la surface de l’émail.
Au fur et à mesure qu’elle progresse, cette cavité va se frayer un chemin vers l’intérieur de la dent jusqu’à atteindre le nerf. Les premiers signes pouvant révéler la présence d’une carie sont les douleurs au sucre, au froid ou au chaud.
La carie évolue selon quatre stades : la destruction de l’émail, l’agression de la dentine, l’atteinte de la pulpe et enfin la formation d’un abcès.


Le traitement de l'infection
Pour soigner une carie, la dent est endormie (sauf si la carie est très superficielle) et la partie cariée retirée. Après cette première étape, la dent présente un espace creux qui doit être désinfecté afin de pouvoir la reconstituer à l’abri des microbes, évitant ainsi tout risque de récidive de la carie.
Lorsque la carie n’est pas traitée à son début, on risque une rage de dent et le développement d’un abcès dentaire ou d’un kyste.
Le fluor renforce l’émail des dents. Un bon dosage permet de limiter le développement des caries.

Pour éviter les caries, il est nécessaire de se brosser les dents minutieusement dès le plus jeune âge (même lorsqu’il n’y a que des dents de lait en bouche). Pour les jeunes enfants, ayant une susceptibilité accrue à la carie, votre chirurgien-dentiste pourra vous proposer un scellement des sillons des premières molaires à partir de 6ans.  Une dent déjà soignée n’est pas à l’abri d’une nouvelle carie et certaines caries se développent sans douleur. 


Les soins dentaires
Il est important de consulter un dentiste au moins une fois par an, pour un bilan bucco dentaire, à partir de 3 ans. Ainsi s’il y a des caries, des solutions simples pourront être apportées (soins et prévention ), un nettoyage sera réalisé afin d’enlever la plaque dentaire et le tartre. Des conseils seront donnés afin d’améliorer le brossage, et des soins supplémentaires peuvent être recommandés si besoin. En cas de douleur, nous recevons nos patients en urgence dans la journée. 
 
Pour les caries de petite taille, un composite sera utilisé pour reconstruire la dent, les amalgames (plombages) ne sont plus utilisés dans le cabinet. Pour les lésions pré-carieuses, ainsi que pour certaines tâches, il est possible de réaliser une infiltration de résine afin de soigner l’émail et lui rendre son aspect homogène. 
Il est parfois nécessaire de dévitaliser la dent si la carie est trop profonde et la dent douloureuse. Cette dent nécessitera peut être une reconstruction plus importante qu’un simple composite, un onlay sera peut être nécessaire. 

Nous privilégions toujours les solutions qui permettent de conserver au maximum les tissus dentaires, et surtout l’émail.
Les caries dentaires affectent 60 à 90 % des enfants d’âge scolaire et la majorité des adultes. Mieux les comprendre permet de mieux les éviter !


Une carie, c'est quoi ?
La carie est une maladie infectieuse d’origine bactérienne qui détruit progressivement la dent par déminéralisation de ses tissus durs. Elle évolue toujours de l’extérieur vers l’intérieur de la dent en formant une cavité.
Elle touche aussi bien les dents de lait de l’enfant que les dents définitives de l’adulte
Elle se développe par l’interaction de différents facteurs : les bactéries de la plaque dentaire, le terrain dentaire (émail mince, mal minéralisé ou usé), l’alimentation et le temps.
La carie peut se manifester très tôt : les enfants peuvent avoir des caries dès l’apparition de leurs premières dents.


Évolution de la carie
La carie se caractérise par l’apparition d’une cavité à la surface de l’émail.
Au fur et à mesure qu’elle progresse, cette cavité va se frayer un chemin vers l’intérieur de la dent jusqu’à atteindre le nerf. Les premiers signes pouvant révéler la présence d’une carie sont les douleurs au sucre, au froid ou au chaud.
La carie évolue selon quatre stades : la destruction de l’émail, l’agression de la dentine, l’atteinte de la pulpe et enfin la formation d’un abcès.


Le traitement de l'infection
Pour soigner une carie, la dent est endormie (sauf si la carie est très superficielle) et la partie cariée retirée. Après cette première étape, la dent présente un espace creux qui doit être désinfecté afin de pouvoir la reconstituer à l’abri des microbes, évitant ainsi tout risque de récidive de la carie.
Lorsque la carie n’est pas traitée à son début, on risque une rage de dent et le développement d’un abcès dentaire ou d’un kyste.
Le fluor renforce l’émail des dents. Un bon dosage permet de limiter le développement des caries.

Pour éviter les caries, il est nécessaire de se brosser les dents minutieusement dès le plus jeune âge (même lorsqu’il n’y a que des dents de lait en bouche). Pour les jeunes enfants, ayant une susceptibilité accrue à la carie, votre chirurgien-dentiste pourra vous proposer un scellement des sillons des premières molaires à partir de 6ans.  Une dent déjà soignée n’est pas à l’abri d’une nouvelle carie et certaines caries se développent sans douleur. 


Les soins dentaires
Il est important de consulter un dentiste au moins une fois par an, pour un bilan bucco dentaire, à partir de 3 ans. Ainsi s’il y a des caries, des solutions simples pourront être apportées (soins et prévention ), un nettoyage sera réalisé afin d’enlever la plaque dentaire et le tartre. Des conseils seront donnés afin d’améliorer le brossage, et des soins supplémentaires peuvent être recommandés si besoin. En cas de douleur, nous recevons nos patients en urgence dans la journée. 
 
Pour les caries de petite taille, un composite sera utilisé pour reconstruire la dent, les amalgames (plombages) ne sont plus utilisés dans le cabinet. Pour les lésions pré-carieuses, ainsi que pour certaines tâches, il est possible de réaliser une infiltration de résine afin de soigner l’émail et lui rendre son aspect homogène. 
Il est parfois nécessaire de dévitaliser la dent si la carie est trop profonde et la dent douloureuse. Cette dent nécessitera peut être une reconstruction plus importante qu’un simple composite, un onlay sera peut être nécessaire. 

Nous privilégions toujours les solutions qui permettent de conserver au maximum les tissus dentaires, et surtout l’émail.

Endodontie

Endodontie
Endodontie
Endodontie
L’endodontie s’attache à la prévention, au diagnostic et au traitement des maladies de la pulpe dentaire. À l’intérieur de la dent se trouve la pulpe, constituée de vaisseaux sanguins et de nerfs. La pulpe s’étend de la couronne de la dent jusqu’à l’extrémité des racines, là où elle est en communication avec les tissus de la mâchoire.

Les maladies de l’endodonte se manifestent par une inflammation au niveau des canaux dentaires qui contiennent la pulpe.
Cette inflammation peut être légère, aiguë et irradiante (« rage de dents ») ou chronique. Ce traitement est réalisé quand une dent ne peut plus être gardée vivante, parce qu’elle est nécrosée ou risque de le devenir.


Le traitement endodontique
En premier lieu, une radiographie est effectuée permettant de visualiser la longueur et la forme des canaux à traiter. Le traitement s’effectue ensuite sous anesthésie locale, en différentes étapes :
Élimination des tissus infectés, ou susceptibles de l’être.
Nettoyage des canaux et irrigation avec une solution désinfectante.
Séchage du système canalaire.
Obturation canalaire.

À l’issue du traitement la dent est reconstituée avec une obturation si elle n’est pas trop délabrée ou avec une reconstitution prothétique. L’étanchéité obtenue permettra d’éviter que la dent ne soit recolonisée par des bactéries.

L’endodontie est souvent un recours afin d’éviter une extraction dentaire. Les soins endodontiques peuvent être précédés ou accompagnés de traitements par antibiotiques. Les traitements endodontiques s’effectuent dans tous les cabinets dentaires. Toutefois, des circonstances particulières ou des cas complexes peuvent inciter votre praticien à déléguer ce soin à un spécialiste travaillant sous microscope.


Le retraitement endodontique
Une dent dévitalisée et soignée peut s’infecter et nécessiter une reprise du traitement de la racine ou « retraitement endodontique ». Des signes douloureux se font sentir. Le but alors est d’assainir, de désinfecter et étanchéifier les racines. Ce traitement nécessitera de déposer les éléments prothétiques déjà posés (couronne, pilier...) et de les reconstruire.

Pourquoi ?
Le traitement de racines n’a pu aller jusqu’au bout de celles-ci.
Une racine peut cacher un canal supplémentaire inaccessible ou invisible.
Une infection à l’extrémité de la racine s’est produite malgré la dévitalisation.
Une couronne est à changer et le traitement endodontique de la dent ne paraît pas satisfaisant, même si la dent n’est pas sensible.
Il existe une douleur chronique à la pression.

Quelles sont les étapes ?
Refaire un traitement endodontique est une intervention minutieuse. En fonction des situations cliniques, le retraitement est plus ou moins long et complexe.
Dépose du travail existant : couronne, tenon (pivot), inlay-core (pilier).
Désobturation du précédent traitement de racines : il faut ramollir et nettoyer l’ancien ciment restant dans les canaux.
Accès aux canaux supplémentaires s’ils ont été repérés.
Nouvelle obturation : une fois bien nettoyé et désinfecté, le canal à l’intérieur de la racine est obturé à l’aide d’une pâte étanche.
Nouvelle reconstruction prothétique. Il est en effet indispensable d’effectuer une restauration pour l’équilibre de la mâchoire.

Le bon état des racines constitue la base d’une reconstruction prothétique solide. Il arrive parfois que la reprise de traitement ne soit pas possible. Une solution alternative vous sera alors proposée.
L’endodontie s’attache à la prévention, au diagnostic et au traitement des maladies de la pulpe dentaire. À l’intérieur de la dent se trouve la pulpe, constituée de vaisseaux sanguins et de nerfs. La pulpe s’étend de la couronne de la dent jusqu’à l’extrémité des racines, là où elle est en communication avec les tissus de la mâchoire.

Les maladies de l’endodonte se manifestent par une inflammation au niveau des canaux dentaires qui contiennent la pulpe.
Cette inflammation peut être légère, aiguë et irradiante (« rage de dents ») ou chronique. Ce traitement est réalisé quand une dent ne peut plus être gardée vivante, parce qu’elle est nécrosée ou risque de le devenir.


Le traitement endodontique
En premier lieu, une radiographie est effectuée permettant de visualiser la longueur et la forme des canaux à traiter. Le traitement s’effectue ensuite sous anesthésie locale, en différentes étapes :
Élimination des tissus infectés, ou susceptibles de l’être.
Nettoyage des canaux et irrigation avec une solution désinfectante.
Séchage du système canalaire.
Obturation canalaire.

À l’issue du traitement la dent est reconstituée avec une obturation si elle n’est pas trop délabrée ou avec une reconstitution prothétique. L’étanchéité obtenue permettra d’éviter que la dent ne soit recolonisée par des bactéries.

L’endodontie est souvent un recours afin d’éviter une extraction dentaire. Les soins endodontiques peuvent être précédés ou accompagnés de traitements par antibiotiques. Les traitements endodontiques s’effectuent dans tous les cabinets dentaires. Toutefois, des circonstances particulières ou des cas complexes peuvent inciter votre praticien à déléguer ce soin à un spécialiste travaillant sous microscope.


Le retraitement endodontique
Une dent dévitalisée et soignée peut s’infecter et nécessiter une reprise du traitement de la racine ou « retraitement endodontique ». Des signes douloureux se font sentir. Le but alors est d’assainir, de désinfecter et étanchéifier les racines. Ce traitement nécessitera de déposer les éléments prothétiques déjà posés (couronne, pilier...) et de les reconstruire.

Pourquoi ?
Le traitement de racines n’a pu aller jusqu’au bout de celles-ci.
Une racine peut cacher un canal supplémentaire inaccessible ou invisible.
Une infection à l’extrémité de la racine s’est produite malgré la dévitalisation.
Une couronne est à changer et le traitement endodontique de la dent ne paraît pas satisfaisant, même si la dent n’est pas sensible.
Il existe une douleur chronique à la pression.

Quelles sont les étapes ?
Refaire un traitement endodontique est une intervention minutieuse. En fonction des situations cliniques, le retraitement est plus ou moins long et complexe.
Dépose du travail existant : couronne, tenon (pivot), inlay-core (pilier).
Désobturation du précédent traitement de racines : il faut ramollir et nettoyer l’ancien ciment restant dans les canaux.
Accès aux canaux supplémentaires s’ils ont été repérés.
Nouvelle obturation : une fois bien nettoyé et désinfecté, le canal à l’intérieur de la racine est obturé à l’aide d’une pâte étanche.
Nouvelle reconstruction prothétique. Il est en effet indispensable d’effectuer une restauration pour l’équilibre de la mâchoire.

Le bon état des racines constitue la base d’une reconstruction prothétique solide. Il arrive parfois que la reprise de traitement ne soit pas possible. Une solution alternative vous sera alors proposée.

Hypersensibilité dentaire

Hypersensibilité dentaire
Hypersensibilité dentaire
Hypersensibilité dentaire
Parmi les différents composants des dents que sont l’émail, le cément, la dentine et la pulpe, c’est l’émail qui permet de les protéger contre les réactions douloureuses au chaud, au froid, au sucre ou encore au toucher. Au niveau des collets (zone située entre la couronne et la racine), il est fréquent qu’une partie de dent non recouverte d’émail soit exposée sans protection dans la cavité buccale, ce qui entraîne une hypersensibilité et donc des douleurs plus ou moins importantes.


Origine de l'hypersensibilité
Il existe deux causes principales à l’hypersensibilité dentaire. Elle peut être due à la fracture d’un morceau d’émail au collet de la dent ou à l’usure importante de l’émail liée à un brossage trop agressif. Une récession de la gencive, entraînant la mise à nue d’une partie de la racine de la dent (la racine n’est pas recouverte d’émail), peut également être à l’origine de douleurs dentaires. Les douleurs liées à l’hypersensibilité dentaire sont similaires à celles d’une carie, mais localisées sur l’ensemble de la dentition et non sur une dent précise.


Traitement de l'hypersensibilité
L’hypersensibilité peut être traitée en procédant à la désensibilisation des collets de deux manières:
Au cabinet dentaire, par application de produits spécifiques sur les zones sensibles.
À domicile, par l’utilisation de dentifrices (elmex sensitive, sensodyne), gels et bains de bouche appropriés.

Ces deux méthodes de traitements sont souvent mises en œuvre en parallèle. Dans certains cas, il est possible d’effectuer un recouvrement des collets par une greffe de gencive ou par la pose d’un matériau composite.

Il est important de ne pas négliger ce phénomène d’hypersensibilité au risque de voir apparaître des complications. Si vous êtes concerné, n’hésitez pas à en parler à votre chirurgien-dentiste.
Certaines pathologies qui provoquent des régurgitations acides fréquentes (reflux gastro-œsophagiens, troubles du comportement alimentaire...) peuvent être à l’origine de l’hypersensibilité dentaire. Pour prévenir cette affection, il est conseillé d’éviter la consommation d’aliments trop acides et d’adopter un brossage doux.
Parmi les différents composants des dents que sont l’émail, le cément, la dentine et la pulpe, c’est l’émail qui permet de les protéger contre les réactions douloureuses au chaud, au froid, au sucre ou encore au toucher. Au niveau des collets (zone située entre la couronne et la racine), il est fréquent qu’une partie de dent non recouverte d’émail soit exposée sans protection dans la cavité buccale, ce qui entraîne une hypersensibilité et donc des douleurs plus ou moins importantes.


Origine de l'hypersensibilité
Il existe deux causes principales à l’hypersensibilité dentaire. Elle peut être due à la fracture d’un morceau d’émail au collet de la dent ou à l’usure importante de l’émail liée à un brossage trop agressif. Une récession de la gencive, entraînant la mise à nue d’une partie de la racine de la dent (la racine n’est pas recouverte d’émail), peut également être à l’origine de douleurs dentaires. Les douleurs liées à l’hypersensibilité dentaire sont similaires à celles d’une carie, mais localisées sur l’ensemble de la dentition et non sur une dent précise.


Traitement de l'hypersensibilité
L’hypersensibilité peut être traitée en procédant à la désensibilisation des collets de deux manières:
Au cabinet dentaire, par application de produits spécifiques sur les zones sensibles.
À domicile, par l’utilisation de dentifrices (elmex sensitive, sensodyne), gels et bains de bouche appropriés.

Ces deux méthodes de traitements sont souvent mises en œuvre en parallèle. Dans certains cas, il est possible d’effectuer un recouvrement des collets par une greffe de gencive ou par la pose d’un matériau composite.

Il est important de ne pas négliger ce phénomène d’hypersensibilité au risque de voir apparaître des complications. Si vous êtes concerné, n’hésitez pas à en parler à votre chirurgien-dentiste.
Certaines pathologies qui provoquent des régurgitations acides fréquentes (reflux gastro-œsophagiens, troubles du comportement alimentaire...) peuvent être à l’origine de l’hypersensibilité dentaire. Pour prévenir cette affection, il est conseillé d’éviter la consommation d’aliments trop acides et d’adopter un brossage doux.

Conseils après une intervention chirurgicale dentaire.

Personne se versant du bain de bouche pour un soin dentaire post-chirurgie
Personne se versant du bain de bouche pour un soin dentaire post-chirurgie
Personne se versant du bain de bouche pour un soin dentaire post-chirurgie
Les interventions sont souvent suivies d’une gêne ou d’un inconfort. Des règles simples permettent de gérer au mieux les suites opératoires.


L'hygiène buccale et les bains de bouche
Une bonne hygiène buccale est la clé d’une cicatrisation rapide et de qualité. Continuez vos brossages habituels dans les zones non douloureuses. Pour assurer la propreté de la zone opérée, faites les bains de bouche qui vous ont été prescrits avec le plus grand soin. Attention à ne commencer les bains de bouche que le lendemain de l’intervention, car des rinçages trop vigoureux dans les premières 24 heures risqueraient de provoquer un saignement et de retarder la cicatrisation.


Tabac
Il entrave de façon importante la cicatrisation. Son arrêt temporaire est vivement conseillé dans les jours qui suivent l’intervention et, en particulier, dans les cas de pose d’implant, de greffe gingivale ou osseuse.


Médicaments
Suivez à la lettre les prescriptions de l’ordonnance qui vous a été remise. En cas d’intolérance à l’un des médicaments prescrits, contactez-nous rapidement.


Douleur
Il est normal de ressentir une gêne après une intervention chirurgicale. Sachez qu’il est plus facile de prévenir la douleur que de la traiter une fois qu’elle est installée. C’est pour cette raison qu’il est préférable de prendre une première dose d’antalgique avant même la fin de l’anesthésie et de continuer les prises systématiquement les premiers jours, sans attendre que la douleur ne revienne.


Saignements
Ils peuvent durer de quelques heures à quelques jours après l’intervention chirurgicale. La présence de saignements modérés ne doit pas vous inquiéter. Pour y faire face, appliquez une compresse propre au niveau du saignement et mordez-la pendant 10 à 30 minutes. Si le saignement persiste malgré tout, contactez le cabinet. Évitez également de cracher les premiers jours car cela peut déclencher un saignement.


Œdèmes (gonflements) et hématomes
Ils sont fréquents et parfois impressionnants. Les œdèmes peuvent être prévenus en appliquant une poche de glace sur la joue (en l’isolant de la peau) pendant une trentaine de minutes, en la retirant de temps en temps. Les œdèmes et les hématomes disparaissent progressivement dans les jours qui suivent.


Alimentation
Elle doit être froide ou tiède pendant les 24 premières heures. Une alimentation trop chaude risque de faire saigner la plaie et de perturber la cicatrisation. Si vous avez du mal à mastiquer les premiers jours, adoptez une alimentation molle.
Les interventions sont souvent suivies d’une gêne ou d’un inconfort. Des règles simples permettent de gérer au mieux les suites opératoires.


L'hygiène buccale et les bains de bouche
Une bonne hygiène buccale est la clé d’une cicatrisation rapide et de qualité. Continuez vos brossages habituels dans les zones non douloureuses. Pour assurer la propreté de la zone opérée, faites les bains de bouche qui vous ont été prescrits avec le plus grand soin. Attention à ne commencer les bains de bouche que le lendemain de l’intervention, car des rinçages trop vigoureux dans les premières 24 heures risqueraient de provoquer un saignement et de retarder la cicatrisation.


Tabac
Il entrave de façon importante la cicatrisation. Son arrêt temporaire est vivement conseillé dans les jours qui suivent l’intervention et, en particulier, dans les cas de pose d’implant, de greffe gingivale ou osseuse.


Médicaments
Suivez à la lettre les prescriptions de l’ordonnance qui vous a été remise. En cas d’intolérance à l’un des médicaments prescrits, contactez-nous rapidement.


Douleur
Il est normal de ressentir une gêne après une intervention chirurgicale. Sachez qu’il est plus facile de prévenir la douleur que de la traiter une fois qu’elle est installée. C’est pour cette raison qu’il est préférable de prendre une première dose d’antalgique avant même la fin de l’anesthésie et de continuer les prises systématiquement les premiers jours, sans attendre que la douleur ne revienne.


Saignements
Ils peuvent durer de quelques heures à quelques jours après l’intervention chirurgicale. La présence de saignements modérés ne doit pas vous inquiéter. Pour y faire face, appliquez une compresse propre au niveau du saignement et mordez-la pendant 10 à 30 minutes. Si le saignement persiste malgré tout, contactez le cabinet. Évitez également de cracher les premiers jours car cela peut déclencher un saignement.


Œdèmes (gonflements) et hématomes
Ils sont fréquents et parfois impressionnants. Les œdèmes peuvent être prévenus en appliquant une poche de glace sur la joue (en l’isolant de la peau) pendant une trentaine de minutes, en la retirant de temps en temps. Les œdèmes et les hématomes disparaissent progressivement dans les jours qui suivent.


Alimentation
Elle doit être froide ou tiède pendant les 24 premières heures. Une alimentation trop chaude risque de faire saigner la plaie et de perturber la cicatrisation. Si vous avez du mal à mastiquer les premiers jours, adoptez une alimentation molle.

Douleurs au niveau des articulations temporo-mandibulaires (ATM)

Gouttière dentaire
Gouttière dentaire
Gouttière dentaire
La dysfonction de l’appareil manducateur, ou DAM, désigne les troubles musculaires et articulaires de la mandibule (mâchoire inférieure).

Les articulations temporo-mandibulaires (ATM) se situent à la base du crâne et permettent les mouvements de la mâchoire inférieure (mandibule). Leur rôle est essentiel dans la mastication. Sur tous les côtés des ATM, et sur l’articulation elle-même, s’accrochent les muscles masticateurs lui permettant d’effectuer tous les mouvements de la mandibule. Ces muscles sont très puissants.


Symptômes des pathologies de l'appareil manducateur
Craquements, ressauts ou blocages en ouvrant et fermant la bouche (déplacement ou usure des pièces articulaires).
Myalgies : contractures douloureuses des muscles entourant les articulations au réveil ou lors des efforts mandibulaires.
Limitation des mouvements, ou déviation de la mandibule lors de l’ouverture buccale. > Modification de l’occlusion (contact des dents antagonistes).
Maux de tête, douleurs locales.
Problèmes d’audition (acouphènes).


Causes
Ces causes sont multiples, parfois délicates à mettre en évidence :
Troubles de l’occlusion (contacts dentaires entre les dents du haut et celles du bas). > Excès de stress, le fait de se ronger les ongles...
Postures et tics contraignant la mandibule (sommeil ventral, excès de chewing-gum). > Bruxisme (crispation et grincement des dents).
Problèmes structurels (asymétrie du visage, malpositions dentaires...).
Traumatismes.


Prise en charge et traitements
Un questionnement soigneux du patient et un examen bucco-dentaire approfondi sont indispensables pour établir un diagnostic. Une radio panoramique peut être utile. Les traitements sont souvent pluridisciplinaires (dentiste, médecin, kinésithérapeute).
Le soulagement des symptômes et la lutte contre la douleur sont alors recherchés avec :
De la relaxation (repos des muscles concernés) par le port d’une gouttière occlusale.
Des antalgiques, anti-inflammatoires ou médicaments relaxants prescrits selon les cas.
Des séances de kinésithérapie pour faciliter une meilleure utilisation de la mandibule.
Dans un second temps, après le soulagement des signes et des symptômes, une équilibration occlusale, un traitement orthodontique (réalignement des dents) ou un traitement prothétique (remplacement des dents manquantes) seront envisagés s’ils permettent de répondre à un problème structurel.

Consultez dès les premiers troubles afin d’éviter leur installation dans la durée. La prise de conscience d’habitudes néfastes (comme serrer les dents avec excès) suffit parfois à une amélioration rapide des symptômes


Gouttière occlusale
La gouttière occlusale est un dispositif médical, conçu sur mesure, elle rétablit une bonne occlusion dentaire, c’est-à-dire un contact équilibré entre les deux mâchoires.

Pourquoi porter une gouttière occlusale ?
La malposition des mâchoires risque d’entraîner des problèmes musculo-squelettiques sérieux. Ces problèmes se manifestent alors par des douleurs au niveau des muscles de la mâchoire, des articulations, ou par des migraines. Lorsque ces symptômes s’aggravent, les articulations peuvent craquer, les oreilles se boucher. Le cou et les épaules deviennent douloureux et l’ouverture de la bouche est difficile à cause de crampes.
La gouttière occlusale, correctement réglée, permet un relâchement des muscles de la mâchoire et des autres muscles impliqués dans les douleurs. Les articulations des mâchoires sont alors soulagées.
Les gouttières sont aussi utilisées comme moyen de protection des dents quand des habitudes de grincement provoquent leur usure excessive (on parle de bruxisme).

Comment une gouttière est-elle faite ?
L’indication et la fabrication d’une gouttière (appelée aussi orthèse) répondent à un diagnostic précis propre à chaque situation.
Une gouttière est conçue sur mesure à partir des empreintes dentaires.
Il existe différents types de gouttières. La plus répandue permet de corriger les pathologies dues aux crispations involontaires et souvent incontrôlables des muscles de la mâchoire.
Une fois la gouttière préparée, elle est réglée en bouche. Elle doit, en particulier, être équilibrée lors de la fermeture de la mâchoire. Elle assurera le calage et le centrage des dents comme des articulations, ainsi que les mouvements latéraux de la mandibule.
La dysfonction de l’appareil manducateur, ou DAM, désigne les troubles musculaires et articulaires de la mandibule (mâchoire inférieure).

Les articulations temporo-mandibulaires (ATM) se situent à la base du crâne et permettent les mouvements de la mâchoire inférieure (mandibule). Leur rôle est essentiel dans la mastication. Sur tous les côtés des ATM, et sur l’articulation elle-même, s’accrochent les muscles masticateurs lui permettant d’effectuer tous les mouvements de la mandibule. Ces muscles sont très puissants.


Symptômes des pathologies de l'appareil manducateur
Craquements, ressauts ou blocages en ouvrant et fermant la bouche (déplacement ou usure des pièces articulaires).
Myalgies : contractures douloureuses des muscles entourant les articulations au réveil ou lors des efforts mandibulaires.
Limitation des mouvements, ou déviation de la mandibule lors de l’ouverture buccale. > Modification de l’occlusion (contact des dents antagonistes).
Maux de tête, douleurs locales.
Problèmes d’audition (acouphènes).


Causes
Ces causes sont multiples, parfois délicates à mettre en évidence :
Troubles de l’occlusion (contacts dentaires entre les dents du haut et celles du bas). > Excès de stress, le fait de se ronger les ongles...
Postures et tics contraignant la mandibule (sommeil ventral, excès de chewing-gum). > Bruxisme (crispation et grincement des dents).
Problèmes structurels (asymétrie du visage, malpositions dentaires...).
Traumatismes.


Prise en charge et traitements
Un questionnement soigneux du patient et un examen bucco-dentaire approfondi sont indispensables pour établir un diagnostic. Une radio panoramique peut être utile. Les traitements sont souvent pluridisciplinaires (dentiste, médecin, kinésithérapeute).
Le soulagement des symptômes et la lutte contre la douleur sont alors recherchés avec :
De la relaxation (repos des muscles concernés) par le port d’une gouttière occlusale.
Des antalgiques, anti-inflammatoires ou médicaments relaxants prescrits selon les cas.
Des séances de kinésithérapie pour faciliter une meilleure utilisation de la mandibule.
Dans un second temps, après le soulagement des signes et des symptômes, une équilibration occlusale, un traitement orthodontique (réalignement des dents) ou un traitement prothétique (remplacement des dents manquantes) seront envisagés s’ils permettent de répondre à un problème structurel.

Consultez dès les premiers troubles afin d’éviter leur installation dans la durée. La prise de conscience d’habitudes néfastes (comme serrer les dents avec excès) suffit parfois à une amélioration rapide des symptômes


Gouttière occlusale
La gouttière occlusale est un dispositif médical, conçu sur mesure, elle rétablit une bonne occlusion dentaire, c’est-à-dire un contact équilibré entre les deux mâchoires.

Pourquoi porter une gouttière occlusale ?
La malposition des mâchoires risque d’entraîner des problèmes musculo-squelettiques sérieux. Ces problèmes se manifestent alors par des douleurs au niveau des muscles de la mâchoire, des articulations, ou par des migraines. Lorsque ces symptômes s’aggravent, les articulations peuvent craquer, les oreilles se boucher. Le cou et les épaules deviennent douloureux et l’ouverture de la bouche est difficile à cause de crampes.
La gouttière occlusale, correctement réglée, permet un relâchement des muscles de la mâchoire et des autres muscles impliqués dans les douleurs. Les articulations des mâchoires sont alors soulagées.
Les gouttières sont aussi utilisées comme moyen de protection des dents quand des habitudes de grincement provoquent leur usure excessive (on parle de bruxisme).

Comment une gouttière est-elle faite ?
L’indication et la fabrication d’une gouttière (appelée aussi orthèse) répondent à un diagnostic précis propre à chaque situation.
Une gouttière est conçue sur mesure à partir des empreintes dentaires.
Il existe différents types de gouttières. La plus répandue permet de corriger les pathologies dues aux crispations involontaires et souvent incontrôlables des muscles de la mâchoire.
Une fois la gouttière préparée, elle est réglée en bouche. Elle doit, en particulier, être équilibrée lors de la fermeture de la mâchoire. Elle assurera le calage et le centrage des dents comme des articulations, ainsi que les mouvements latéraux de la mandibule.

Usure dentaire

Certaines personnes paraissent avoir subi une forme d’usure prématurée des dents. Quelles en sont les causes et comment y remédier ?


Causes
Le frottement des dents entre elles, le plus souvent dû à une mauvaise occlusion entre les deux mâchoires. Cela touche surtout les incisives et les canines.
Les personnes atteintes de bruxisme sont particulièrement menacées. Rappelons que le bruxisme est l’action de grincer des dents, le plus souvent durant le sommeil, en produisant des bruits de frottement dentaire. Les dents s’usent alors prématurément
Le fait de serrer les dents toute la journée conduit également à une usure dentaire.


Rappels
Le contact des dents avec un élément extérieur (mordillement d’un objet...) finit par les user. Les boissons de type sodas, jus de fruit, boissons énergétiques... riches en acides, rendent l’émail vulnérable à l’érosion. Surtout si ces boissons sont consommées à jeun. Des désordres nutritionnels répétés (vomissements) peuvent avoir une répercussion sur l’émail des dents. Les dentifrices trop abrasifs, des gestes de brossage agressifs ou inadéquats mènent à une érosion au niveau du collet des dents.


Traitements
Les stades précoces d’usure passent parfois inaperçus. Une douleur, même légère, doit vous alerter et le dialogue avec le praticien permettra d’en déterminer l’origine. Une fois que la ou les causes de l’usure seront identifiées, des mesures de soin et de prévention vous seront alors proposées.
Utilisation d’une paille pour réduire le contact des boissons acides avec les dents.
Traitement du collet des dents, avec sensibilisation du patient aux gestes à éviter.
Port de gouttières pendant la nuit pour protéger les dents en cas de bruxisme.
Restaurations esthétiques en composite ou céramique (pose de facettes ou de couronnes esthétiques par exemple).
Certaines personnes paraissent avoir subi une forme d’usure prématurée des dents. Quelles en sont les causes et comment y remédier ?


Causes
Le frottement des dents entre elles, le plus souvent dû à une mauvaise occlusion entre les deux mâchoires. Cela touche surtout les incisives et les canines.
Les personnes atteintes de bruxisme sont particulièrement menacées. Rappelons que le bruxisme est l’action de grincer des dents, le plus souvent durant le sommeil, en produisant des bruits de frottement dentaire. Les dents s’usent alors prématurément
Le fait de serrer les dents toute la journée conduit également à une usure dentaire.


Rappels
Le contact des dents avec un élément extérieur (mordillement d’un objet...) finit par les user. Les boissons de type sodas, jus de fruit, boissons énergétiques... riches en acides, rendent l’émail vulnérable à l’érosion. Surtout si ces boissons sont consommées à jeun. Des désordres nutritionnels répétés (vomissements) peuvent avoir une répercussion sur l’émail des dents. Les dentifrices trop abrasifs, des gestes de brossage agressifs ou inadéquats mènent à une érosion au niveau du collet des dents.


Traitements
Les stades précoces d’usure passent parfois inaperçus. Une douleur, même légère, doit vous alerter et le dialogue avec le praticien permettra d’en déterminer l’origine. Une fois que la ou les causes de l’usure seront identifiées, des mesures de soin et de prévention vous seront alors proposées.
Utilisation d’une paille pour réduire le contact des boissons acides avec les dents.
Traitement du collet des dents, avec sensibilisation du patient aux gestes à éviter.
Port de gouttières pendant la nuit pour protéger les dents en cas de bruxisme.
Restaurations esthétiques en composite ou céramique (pose de facettes ou de couronnes esthétiques par exemple).

Les enfants

Enfant sur le fauteuil de soins chez le dentiste
Enfant sur le fauteuil de soins chez le dentiste
Enfant sur le fauteuil de soins chez le dentiste
Première visite chez le dentiste
Familiariser votre enfant avec le cabinet dès son plus jeune âge permet de le sensibiliser à sa santé bucco-dentaire et d’établir une relation de confiance.


À partir de quel âge faut-il consulter un dentiste ?
Cette rencontre, principalement axée sur la prévention, doit avoir lieu autour de l’âge d’un an. Elle permet de vous donner toutes les explications nécessaires sur le développement futur des dents de votre enfant, d’évaluer ses risques et de vous conseiller sur les principaux gestes pour sa santé dentaire (brossage, fluor, alimentation...). L’environnement familial sera également pris en compte (présence de sensibilités carieuses par exemple). Il permet de calculer le risque carieux individuel (RCI).

Il sera ensuite nécessaire de consulter le cabinet une fois par an afin de vérifier l’existence ou non d’anomalies (malposition dentaire, coloration anormale, présence de carie, de tartre...) ainsi que le bon déroulement de la chute des dents de lait et de l’apparition des dents définitives.


La première consultation
La première visite consiste généralement en une simple « prise de contact », sans piqûre, ni carie à soigner ! Il est important de rassurer votre enfant et de ne pas l’influencer avec vos éventuelles craintes personnelles. Si votre enfant ne perçoit pas d’appréhension de votre part, les visites se dérouleront en douceur. Pour les visites suivantes, vous pourrez rester dans la salle de soins avec votre enfant jusqu’à l’âge de 6 / 7 ans. Cependant, au-delà de 8 ans, l’accompagner systématiquement en salle de soins risque de le déstabiliser ou de lui laisser croire qu’il est en danger.


Les principales étapes
Au cours de cette séance, nous serons amenés à :
Faire un examen oral complet afin de vérifier la croissance et le développement des dents et des mâchoires.
Vous dire si votre enfant a des risques de développer des caries.
Nettoyer ses dents et vous donner des conseils pour une hygiène dentaire quotidienne efficace.
Estimer si votre enfant a des apports suffisants en fluor.
Revoir avec vous les habitudes alimentaires qui pourraient être à l’origine de futures caries.
Parler de l’éruption de ses dents, de l’utilisation d’une tétine ou de la succion du pouce, le cas échéant.


Les rendez-vous à ne pas manquer
Le programme « M’T dents » :
Tous les 3 ans, l’Assurance Maladie prend en charge les rendez-vous et les soins dentaires de votre enfant de 3 à 24 ans : suivi des dents définitives, bilan d’orthodontie, sensibilisation à l’hygiène et à l’alimentation, vérification des dents de sagesse... Vous recevez directement un courrier à votre domicile. Prenez alors rendez-vous au cabinet et munissez-vous de ce courrier lors de la visite de votre enfant. Ces rendez-vous de l’Assurance Maladie ne dispensent pas d’une visite de contrôle annuelle.

Le rôle des parents est capital : il est souhaitable de transmettre à votre enfant l’envie d’aller consulter, et d’être attentif au vocabulaire que vous employez. Un enfant confiant et détendu se laissera soigner sans problème. Dès le plus jeune âge, il est important de parler de « la visite chez le dentiste » à la maison !
En effet, cela permettra de relayer les informations sur l’importance de la santé dentaire, et de montrer à nos enfants les bonnes habitudes pour garder des dents saines tout au long de leur vie.


L'hygiène bucco-dentaire des enfants
Dès l’éruption des premières dents, l’enfant peut être sensibilisé au brossage des dents et ainsi adopter très tôt des réflexes utiles.

Brossage, hygiène, alimentation... Les enfants acquièrent de bonnes habitudes bucco-dentaires grâce à leurs parents. Il est recommandé de les initier au brossage, puis de les accompagner dans cet apprentissage dès leur plus jeune âge. Même si elles ne restent pas en bouche toute la vie, ne négligez pas les dents de lait ! Ne pas les brosser peut avoir des conséquences non négligeables : les caries risquent d’atteindre et d’endommager les germes des dents définitives situées juste en dessous. Les dents de lait préparent la place des futures dents, leur santé est indispensable.

Premiers brossages
Chez les tout petits, un nettoyage quotidien simple de la bouche et des gencives, avec une compresse humide, permet d’éliminer la plaque dentaire et les débris alimentaires.
Dès que l’enfant a des dents, il est important de lui montrer ce qu’est le brossage et de l’inciter à imiter ses parents, en le surveillant et en complétant ses premiers gestes.

Conseils pour le brossage des petits
Mimer un adulte : dès qu’il en sera capable, l’enfant pourra brosser ses dents en mimant un adulte placé à côté de lui. Celui-ci terminera ensuite le brossage pour qu’il soit parfait. L’aide de l’adulte pourra être allégée progressivement dès que l’enfant réalisera un brossage correct entièrement seul.
Brossage du soir obligatoire ! Il est recommandé de se brosser les dents quotidiennement : le matin après le petit-déjeuner et surtout le soir après le repas. Ensuite, l’enfant ne devra pas s’endormir avec un biberon (excepté d’eau), ni manger quelque chose, au risque de développer de nombreuses caries
Une brosse à dents adaptée : une petite tête de brosse à dents doit être utilisée pour accéder à tous les recoins.
Après le brossage du soir : plus de sucreries, plus de sodas et plus de biberon de lait pour s’endormir.

À partir de 6 ans
À 6 ans, l’enfant peut se brosser les dents comme un grand. Il faut bien veiller à ce qu’il nettoie aussi les dents du fond (premières molaires définitives). Elles sont souvent mal brossées, du fait de leur difficulté d’accès, et présentent en outre un risque accru de carie dans les mois qui suivent leur éruption. Le bon rythme de brossage est 2 fois par jour pendant 2 minutes.


Brosse à dents et dentifrice
La brosse à dents doit être adaptée à l’âge de l’enfant et à la taille de sa bouche. Elle doit également être changée dès que les poils sont abîmés ou tous les 3 mois. La combinaison d’un bon brossage et d’une alimentation saine permettra à votre enfant de garder de belles dents. Le fluor permet de renforcer l’émail des dents. Cependant, un surdosage peut provoquer des fluoroses (taches blanches) sur les futures dents définitives. Il est important de choisir un dentifrice avec un taux de fluor adapté à l’âge de l’enfant.
Première visite chez le dentiste
Familiariser votre enfant avec le cabinet dès son plus jeune âge permet de le sensibiliser à sa santé bucco-dentaire et d’établir une relation de confiance.


À partir de quel âge faut-il consulter un dentiste ?
Cette rencontre, principalement axée sur la prévention, doit avoir lieu autour de l’âge d’un an. Elle permet de vous donner toutes les explications nécessaires sur le développement futur des dents de votre enfant, d’évaluer ses risques et de vous conseiller sur les principaux gestes pour sa santé dentaire (brossage, fluor, alimentation...). L’environnement familial sera également pris en compte (présence de sensibilités carieuses par exemple). Il permet de calculer le risque carieux individuel (RCI).

Il sera ensuite nécessaire de consulter le cabinet une fois par an afin de vérifier l’existence ou non d’anomalies (malposition dentaire, coloration anormale, présence de carie, de tartre...) ainsi que le bon déroulement de la chute des dents de lait et de l’apparition des dents définitives.


La première consultation
La première visite consiste généralement en une simple « prise de contact », sans piqûre, ni carie à soigner ! Il est important de rassurer votre enfant et de ne pas l’influencer avec vos éventuelles craintes personnelles. Si votre enfant ne perçoit pas d’appréhension de votre part, les visites se dérouleront en douceur. Pour les visites suivantes, vous pourrez rester dans la salle de soins avec votre enfant jusqu’à l’âge de 6 / 7 ans. Cependant, au-delà de 8 ans, l’accompagner systématiquement en salle de soins risque de le déstabiliser ou de lui laisser croire qu’il est en danger.


Les principales étapes
Au cours de cette séance, nous serons amenés à :
Faire un examen oral complet afin de vérifier la croissance et le développement des dents et des mâchoires.
Vous dire si votre enfant a des risques de développer des caries.
Nettoyer ses dents et vous donner des conseils pour une hygiène dentaire quotidienne efficace.
Estimer si votre enfant a des apports suffisants en fluor.
Revoir avec vous les habitudes alimentaires qui pourraient être à l’origine de futures caries.
Parler de l’éruption de ses dents, de l’utilisation d’une tétine ou de la succion du pouce, le cas échéant.


Les rendez-vous à ne pas manquer
Le programme « M’T dents » :
Tous les 3 ans, l’Assurance Maladie prend en charge les rendez-vous et les soins dentaires de votre enfant de 3 à 24 ans : suivi des dents définitives, bilan d’orthodontie, sensibilisation à l’hygiène et à l’alimentation, vérification des dents de sagesse... Vous recevez directement un courrier à votre domicile. Prenez alors rendez-vous au cabinet et munissez-vous de ce courrier lors de la visite de votre enfant. Ces rendez-vous de l’Assurance Maladie ne dispensent pas d’une visite de contrôle annuelle.

Le rôle des parents est capital : il est souhaitable de transmettre à votre enfant l’envie d’aller consulter, et d’être attentif au vocabulaire que vous employez. Un enfant confiant et détendu se laissera soigner sans problème. Dès le plus jeune âge, il est important de parler de « la visite chez le dentiste » à la maison !
En effet, cela permettra de relayer les informations sur l’importance de la santé dentaire, et de montrer à nos enfants les bonnes habitudes pour garder des dents saines tout au long de leur vie.


L'hygiène bucco-dentaire des enfants
Dès l’éruption des premières dents, l’enfant peut être sensibilisé au brossage des dents et ainsi adopter très tôt des réflexes utiles.

Brossage, hygiène, alimentation... Les enfants acquièrent de bonnes habitudes bucco-dentaires grâce à leurs parents. Il est recommandé de les initier au brossage, puis de les accompagner dans cet apprentissage dès leur plus jeune âge. Même si elles ne restent pas en bouche toute la vie, ne négligez pas les dents de lait ! Ne pas les brosser peut avoir des conséquences non négligeables : les caries risquent d’atteindre et d’endommager les germes des dents définitives situées juste en dessous. Les dents de lait préparent la place des futures dents, leur santé est indispensable.

Premiers brossages
Chez les tout petits, un nettoyage quotidien simple de la bouche et des gencives, avec une compresse humide, permet d’éliminer la plaque dentaire et les débris alimentaires.
Dès que l’enfant a des dents, il est important de lui montrer ce qu’est le brossage et de l’inciter à imiter ses parents, en le surveillant et en complétant ses premiers gestes.

Conseils pour le brossage des petits
Mimer un adulte : dès qu’il en sera capable, l’enfant pourra brosser ses dents en mimant un adulte placé à côté de lui. Celui-ci terminera ensuite le brossage pour qu’il soit parfait. L’aide de l’adulte pourra être allégée progressivement dès que l’enfant réalisera un brossage correct entièrement seul.
Brossage du soir obligatoire ! Il est recommandé de se brosser les dents quotidiennement : le matin après le petit-déjeuner et surtout le soir après le repas. Ensuite, l’enfant ne devra pas s’endormir avec un biberon (excepté d’eau), ni manger quelque chose, au risque de développer de nombreuses caries
Une brosse à dents adaptée : une petite tête de brosse à dents doit être utilisée pour accéder à tous les recoins.
Après le brossage du soir : plus de sucreries, plus de sodas et plus de biberon de lait pour s’endormir.

À partir de 6 ans
À 6 ans, l’enfant peut se brosser les dents comme un grand. Il faut bien veiller à ce qu’il nettoie aussi les dents du fond (premières molaires définitives). Elles sont souvent mal brossées, du fait de leur difficulté d’accès, et présentent en outre un risque accru de carie dans les mois qui suivent leur éruption. Le bon rythme de brossage est 2 fois par jour pendant 2 minutes.


Brosse à dents et dentifrice
La brosse à dents doit être adaptée à l’âge de l’enfant et à la taille de sa bouche. Elle doit également être changée dès que les poils sont abîmés ou tous les 3 mois. La combinaison d’un bon brossage et d’une alimentation saine permettra à votre enfant de garder de belles dents. Le fluor permet de renforcer l’émail des dents. Cependant, un surdosage peut provoquer des fluoroses (taches blanches) sur les futures dents définitives. Il est important de choisir un dentifrice avec un taux de fluor adapté à l’âge de l’enfant.

Hypominéralisation des molaires et des incisives (MIH)

L’hypominéralisation des molaires et des incisives est un défaut de structure de l’émail de la dent dû à une mauvaise minéralisation.


Signes particuliers
Présence d’opacités irrégulières, de couleur blanc-crème ou jaune-marron.
Perte d’émail.
Atteinte des molaires et des incisives centrales chez un patient présentant, ou non, un risque carieux.
Ces troubles peuvent être simples, d’ordre esthétique, ou mettant en jeu l’évolution de la dent.


Origine
L’origine de la MIH est à ce jour mal connue. De nombreuses recherches sont en cours : lien avec les perturbateurs endocriniens,  maladies infectieuses répétitives touchant la sphère ORL, maladies chroniques, prématurité, accouchement par césarienne. De fortes fièvres, des événements graves liés à la santé, la prise d’antibiotiques ont été relevés. L’environnement peut aussi avoir un impact négatif. Le problème intervient entre la fin de la grossesse et jusque vers l’âge de 4 ans, c’est-à-dire pendant la période d’édification de l’émail.


Conséquences
Le plus souvent, l’enfant ne se plaint pas et évite instinctivement ce qui pourrait causer une douleur dans les zones sensibles (froid, brossage...). C’est en général au cours d’une visite de contrôle ou à cause du développement d’une carie que le trouble est détecté avec :
Émail qui ne résiste pas à la mastication ou aux attaques acides.
Hypersensibilité : vives douleurs au chaud, au froid, à l’air et ce, dès l’éruption des dents.
Développement de lésions carieuses : le brossage étant pénible, l’enfant hésite à toucher les dents atteintes ce qui produit une accumulation de plaque dentaire et de nourriture favorisant les caries.
Troubles esthétiques (dents antérieures).
Restaurations dentaires effectuées peu durables.
Ce défaut de minéralisation peut être observé dès l’éruption des dents concernées. Le diagnostic s’établit le plus souvent sur les deuxièmes molaires temporaires ou sur les premières molaires permanentes. La détection précoce des lésions permettra la mise en place de mesures de protection et de prévention destinées à conserver les structures dentaires fragilisées.

Ce trouble spécifique est de mieux en mieux détecté et soigné.
Une hypersensibilité chez le jeune enfant (entre autres au brossage) doit vous alerter. L’objectif des soins de l’hypominéralisation des molaires et incisives (MIH) est de traiter la douleur, protéger et renforcer les tissus résiduels. Une fois l’hypominéralisation constatée, différentes actions sont à mener.


Traitements
Règles d’hygiène alimentaire strictes : proscrire les boissons acides, les sodas, les jus de fruits.
Brossage à effectuer avec une brosse à dents souple, un dentifrice adapté et un rinçage à l’eau tiède.
Prescriptions de bains de bouche fluorés et de dentifrice désensibilisant.


Soin curatif le plus courant
Application de vernis fluoré pour pallier la déficience de l’émail, tous les 3 mois si nécessaire.
Scellement de sillons, quand la dent est sortie.
Restaurations directes pour les lésions profondes (entre 6 et 9 ans, c’est-à-dire jusqu’à la maturité de la dent) avec du matériau de comblement très chargé en fluor.
Restaurations collées, couronnes pédiatriques.

En cas de prévision de soins orthodontiques, une mise en relation précoce avec l’orthodontiste sera effectuée, ceci afin de savoir s’il est judicieux de soigner la dent ou d’envisager son remplacement.

Les rendez-vous dentaires fréquents et les difficultés d’anesthésie (pulpe de la dent en défense, avec des réactions douloureuses) entraînent beaucoup d’anxiété lors des traitements. Compte tenu de cette sensibilité, le recours à des techniques de sédation spécifiques est vivement recommandé.

Des visites de contrôle trimestrielles sont nécessaires pour suivre l’évolution des soins et soutenir la motivation du patient, comme celle de ses parents. Le traitement sera aussi en fonction du niveau de risque carieux (faible ou élevé) de l’enfant.
Des restaurations judicieuses favoriseraient une diminution de la sensibilité et éviteraient la perte précoce des dents.
L’hypominéralisation des molaires et des incisives est un défaut de structure de l’émail de la dent dû à une mauvaise minéralisation.


Signes particuliers
Présence d’opacités irrégulières, de couleur blanc-crème ou jaune-marron.
Perte d’émail.
Atteinte des molaires et des incisives centrales chez un patient présentant, ou non, un risque carieux.
Ces troubles peuvent être simples, d’ordre esthétique, ou mettant en jeu l’évolution de la dent.


Origine
L’origine de la MIH est à ce jour mal connue. De nombreuses recherches sont en cours : lien avec les perturbateurs endocriniens,  maladies infectieuses répétitives touchant la sphère ORL, maladies chroniques, prématurité, accouchement par césarienne. De fortes fièvres, des événements graves liés à la santé, la prise d’antibiotiques ont été relevés. L’environnement peut aussi avoir un impact négatif. Le problème intervient entre la fin de la grossesse et jusque vers l’âge de 4 ans, c’est-à-dire pendant la période d’édification de l’émail.


Conséquences
Le plus souvent, l’enfant ne se plaint pas et évite instinctivement ce qui pourrait causer une douleur dans les zones sensibles (froid, brossage...). C’est en général au cours d’une visite de contrôle ou à cause du développement d’une carie que le trouble est détecté avec :
Émail qui ne résiste pas à la mastication ou aux attaques acides.
Hypersensibilité : vives douleurs au chaud, au froid, à l’air et ce, dès l’éruption des dents.
Développement de lésions carieuses : le brossage étant pénible, l’enfant hésite à toucher les dents atteintes ce qui produit une accumulation de plaque dentaire et de nourriture favorisant les caries.
Troubles esthétiques (dents antérieures).
Restaurations dentaires effectuées peu durables.
Ce défaut de minéralisation peut être observé dès l’éruption des dents concernées. Le diagnostic s’établit le plus souvent sur les deuxièmes molaires temporaires ou sur les premières molaires permanentes. La détection précoce des lésions permettra la mise en place de mesures de protection et de prévention destinées à conserver les structures dentaires fragilisées.

Ce trouble spécifique est de mieux en mieux détecté et soigné.
Une hypersensibilité chez le jeune enfant (entre autres au brossage) doit vous alerter. L’objectif des soins de l’hypominéralisation des molaires et incisives (MIH) est de traiter la douleur, protéger et renforcer les tissus résiduels. Une fois l’hypominéralisation constatée, différentes actions sont à mener.


Traitements
Règles d’hygiène alimentaire strictes : proscrire les boissons acides, les sodas, les jus de fruits.
Brossage à effectuer avec une brosse à dents souple, un dentifrice adapté et un rinçage à l’eau tiède.
Prescriptions de bains de bouche fluorés et de dentifrice désensibilisant.


Soin curatif le plus courant
Application de vernis fluoré pour pallier la déficience de l’émail, tous les 3 mois si nécessaire.
Scellement de sillons, quand la dent est sortie.
Restaurations directes pour les lésions profondes (entre 6 et 9 ans, c’est-à-dire jusqu’à la maturité de la dent) avec du matériau de comblement très chargé en fluor.
Restaurations collées, couronnes pédiatriques.

En cas de prévision de soins orthodontiques, une mise en relation précoce avec l’orthodontiste sera effectuée, ceci afin de savoir s’il est judicieux de soigner la dent ou d’envisager son remplacement.

Les rendez-vous dentaires fréquents et les difficultés d’anesthésie (pulpe de la dent en défense, avec des réactions douloureuses) entraînent beaucoup d’anxiété lors des traitements. Compte tenu de cette sensibilité, le recours à des techniques de sédation spécifiques est vivement recommandé.

Des visites de contrôle trimestrielles sont nécessaires pour suivre l’évolution des soins et soutenir la motivation du patient, comme celle de ses parents. Le traitement sera aussi en fonction du niveau de risque carieux (faible ou élevé) de l’enfant.
Des restaurations judicieuses favoriseraient une diminution de la sensibilité et éviteraient la perte précoce des dents.

Succion du pouce ou de la tétine

Béance bouche enfant
Béance bouche enfant
Béance bouche enfant
Une succion du pouce prolongée peut avoir des conséquences sur le développement de la mâchoire, des dents, et aussi sur l’élocution de l’enfant.
On distingue donc la succion nutritive (sein, biberon) de la succion non-nutritive (pouce, tétine, doudou). Par ailleurs, la période d’éruption des dents s’accompagne d’un fort besoin de sucer et de mordiller. La succion est donc une nécessité et une source d’intenses satisfactions.


Pouce ou tétine ?
Depuis un certain nombre d’années, l’usage de la tétine est en recrudescence. Son utilisation peut être aussi nocive que celle du pouce car elle s’interpose entre les dents de la mâchoire supérieure et de la mâchoire inférieure, créant ainsi une béance et pouvant ainsi bloquer la bonne évolution des dents antérieures (dents de devant) mais surtout bloquant la croissance du palais et donc des sinus et de la sphère ORL (problèmes d'otites, d'apnées...).

La respiration nasale ne peut alors pas se mettre en place, ayant pour conséquence l'absence du refroidissement du cerveau par l'air inspirée par le nez. Cette surchauffe du cerveau va provoquer des maux de tête (que l'enfant ne sait pas toujours verbaliser), agitation et colères. Des études ont maintenant montré la baisse des capacités cognitives de l'enfant ayant une tétine. Souvent, l’enfant qui suce son pouce ou son doigt ne fait que le caresser de la langue. C’est ce que l’on observe lorsque, dans son sommeil, il le laisse tomber.

L’âge idéal pour arrêter est avant l'arrivée des dents en bouche soit vers 5/6 mois. L'enfant sera réceptif à perdre cette habitude à partir de 2/3 ans. L’enfant développe alors ses champs d’intérêt et d’investigation. Il marche, s’exprime, a des contacts avec d’autres enfants, entre à l’école. Indépendamment d’un impact éventuel sur les dents, pouce ou tétine gênent la route de la communication : on ne peut pas parler la bouche pleine !

Quelques éléments clés pour l’accompagner :
Choisir une période favorable en évitant les moments de changements familiaux.
Prévoir une période de préparation et d’information : pas d’interdiction brusque.
Présenter l’arrêt de la succion comme une avancée, une « promotion ». Projeter l’enfant dans l’avenir.
Substituer un autre plaisir à celui de sucer son pouce (lui lire une histoire...).
Être vigilant lorsqu’il suce son pouce parce qu’il est désœuvré, ou si vous constatez un lien automatique (télévision/pouce...).
Encourager les efforts et souligner les réussites

Il existe des dispositifs permettant d’arrêter en douceur la succion du pouce ou de la tétine.
Une succion du pouce prolongée peut avoir des conséquences sur le développement de la mâchoire, des dents, et aussi sur l’élocution de l’enfant.
On distingue donc la succion nutritive (sein, biberon) de la succion non-nutritive (pouce, tétine, doudou). Par ailleurs, la période d’éruption des dents s’accompagne d’un fort besoin de sucer et de mordiller. La succion est donc une nécessité et une source d’intenses satisfactions.


Pouce ou tétine ?
Depuis un certain nombre d’années, l’usage de la tétine est en recrudescence. Son utilisation peut être aussi nocive que celle du pouce car elle s’interpose entre les dents de la mâchoire supérieure et de la mâchoire inférieure, créant ainsi une béance et pouvant ainsi bloquer la bonne évolution des dents antérieures (dents de devant) mais surtout bloquant la croissance du palais et donc des sinus et de la sphère ORL (problèmes d'otites, d'apnées...).

La respiration nasale ne peut alors pas se mettre en place, ayant pour conséquence l'absence du refroidissement du cerveau par l'air inspirée par le nez. Cette surchauffe du cerveau va provoquer des maux de tête (que l'enfant ne sait pas toujours verbaliser), agitation et colères. Des études ont maintenant montré la baisse des capacités cognitives de l'enfant ayant une tétine. Souvent, l’enfant qui suce son pouce ou son doigt ne fait que le caresser de la langue. C’est ce que l’on observe lorsque, dans son sommeil, il le laisse tomber.

L’âge idéal pour arrêter est avant l'arrivée des dents en bouche soit vers 5/6 mois. L'enfant sera réceptif à perdre cette habitude à partir de 2/3 ans. L’enfant développe alors ses champs d’intérêt et d’investigation. Il marche, s’exprime, a des contacts avec d’autres enfants, entre à l’école. Indépendamment d’un impact éventuel sur les dents, pouce ou tétine gênent la route de la communication : on ne peut pas parler la bouche pleine !

Quelques éléments clés pour l’accompagner :
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Prévoir une période de préparation et d’information : pas d’interdiction brusque.
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Être vigilant lorsqu’il suce son pouce parce qu’il est désœuvré, ou si vous constatez un lien automatique (télévision/pouce...).
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Il existe des dispositifs permettant d’arrêter en douceur la succion du pouce ou de la tétine.

Adresse

4 Rue Carrick-On-Shannon
35510 Cesson-Sévigné

Nos horaires

Du lundi au vendredi
9h00 - 13h30

14h30 - 19h00


Un samedi sur deux

9h00 - 13h30

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